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Le Village

A l'écart des circuits touristiques, enserré entre les champs de vignes et la Bruche, Wolxheim conserve le charme paisible d'une petite cité vigneronne. 

Un vignoble renommé

Le finage, d’abord terre royale dépendant du domaine royal de Kirchheim, se morcelle progressivement sous forme de donations à des fondations religieuses. Wolxheim apparaît ainsi dans une charte de 742.  Les premiers propriétaires connus de vignobles dans le ban de la localité s’avèrent, là encore, des fondations religieuses : l’abbaye de Saint-Gorgon (1188), les Dominicains de Strasbourg (1297), l’abbaye de Neubourg (1320), le chapitre Saint-Thomas de Strasbourg (1330). Le vin de Wolxheim enrichit l'âme de ceux qui le boivent et fait la fortune d'habiles calculateurs. Les moines bénédictins d'Altorf, propriétaires dans le Horn de 1328 à 1789, glorifient son velouté et ses qualités bienfaisantes, d'autres en font un objet de spéculation. Sébard Buheler, célèbre chroniqueur du XVIe siècle, rapporte à cet égard que le vin nouveau de Wolxheim, acheté à 25 florins le foudre, se vendait à 120 florins le foudre dix années plus tard. Moralité : ce merveilleux nectar était déjà un superbe vin de garde !

Par la suite, Napoléon disait en parlant du riesling de Wolxheim « mon vin préféré ». Lors de l’inauguration du Palais royal (actuel palais du Rhin à Strasbourg) en 1889, le Kaiser Guillaume II  fit servir uniquement des vins provenant de l’Altenberg de Wolxheim.

Au jour d’aujourd’hui, Wolxheim conserve son charme entre vignes et rivières.

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